Archive d’étiquettes pour : Esprit terroirs

Marne Agricole du 13 mai 2016 Bandeau

La Cueillette de Muizon et Esprit Terroirs dans “La Marne Agricole”

Didier Vecten fait l’objet d’un très bel article dans “La Marne Agricole” de ce 13 mai 2016.

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Article de la Marne Agricole du 13 mai 2013

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Un événement important pour La Cueillette de Muizon – Esprit Terroirs s’est déroulé hier Porte de Versailles à Paris.

En effet, Didier Vecten, gérant de la Cueillette de Muizon – Esprit Terroirs, s’est fait remettre l’appellation Producteur Artisan de Qualité par les grands chefs français, fondateurs du Collège Culinaire de France, dont Alain Ducasse, Yannick Alléno, Alain Dutournier, Gilles Goujon, Marc Haeberlin, Thierry Marx, Gérarld Passédat et Anne-Sophie Pic.

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Le Collège Culinaire de France a été créé à l’initiative de 15 grands chefs français. Il est ouvert à tous les professionnels de la gastronomie qui partagent en France et à l’étranger les mêmes valeurs.

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Le Collège Culinaire de France a pour objet de représenter, de promouvoir et de transmettre l’identité, la diversité, la tradition et l’innovation qui caractérisent la gastronomie, auprès des professionnels du secteur, auprès des politiques et auprès du grand public.

La première sélection des 125 Producteurs Artisans de Qualité, millésime 2015 reconnus par le Collège Culinaire de France, a été présentée hier lors d’une conférence de presse organisée en présence des Chefs fondateurs et co-fondateurs, des Chefs référents et de nombreux Restaurants de Qualité venus de toute la France.

Partant du principe qu’il n’y a pas de cuisine de qualité sans produit de qualité, le Collège Culinaire a décidé de décliner son appellation en sélectionnant des Producteurs Artisans de Qualité dans chaque région. L’ambition est de mettre en valeur notre patrimoine culinaire artisanal face à l’industrialisation de la restauration et la standardisation des goûts.

Les candidats sélectionnés chaque année doivent s’engager à :
– Transmettre la passion et le savoir faire de leur métier aux générations montantes
– Utiliser des méthodes artisanales raisonnées de fabrication, de culture et d’élevage
– Cultiver les goûts originels et authentiques des produits.

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Voir :

Le site internet du Collège Culinaire de France

Le Parisen : Article du 19 Novembre 2014

RTL :  Un label “artisan producteur de qualité” pour lutter contre la malbouffe – Ecouter l’emission RTL Conso Matin

Atabula : Appellation “Producteur Artisan de qualité : de la fourche à la fourchette à la mode Alain Ducasse

 

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Esprit TerroirsLa Cueillette de Muizon sera présent lors de la nouvelle édition du Festival du Bon et du Goût, du 4 au 6 avril prochain au parc des Expositions de Reims.

Cette manifestation sera, une nouvelle fois, parrainée par le Chef Arnaud Lallement.

Sébastien Demorand, critique gastronomique, sera également présent le samedi après-midi.

Découvrez cet événement en images :

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Huître

 

HUITRE-CREUSE

Choix

Une huître fraîche doit être bien fermée. Si elle est ouverte, frappez-la : elle doit se refermer. Si elle est lourde, c’est bon signe, cela signifie qu’elle a conservé son eau.

Au stade de la commercialisation, les huîtres creuses sont calibrées, c’est-à-dire classées en catégories, numérotées de 0 à 5, en fonction de leur poids. Choisissez le calibre des huîtres selon leur place dans votre menu : on choisira des petites N°5 (aussi appelées « papillons ») pour un apéritif, des N° 4 pour une entrée. Les N°3 et 2 font l’essentiel de la consommation. Prévoyez 9 à 12 pièces par personne (6 pour un plateau de fruits de mer). L’huître N°1 est celle des grands amateurs, la N°0 se prête particulièrement à la cuisine, c’est l’huître chaude par excellence (6 huîtres par convive).

Les mois en « R »

Les huîtres se consomment toute l’année, mais leurs caractéristiques évoluent selon la saison. C’est entre février et fin avril, qu’elles sont le plus denses et charnues. Les huîtres dites « laiteuses » correspondent à la période de reproduction. Les huîtres « laiteuses » contiennent davantage de glucides. Elles ont leurs fervents amateurs.

Présentation

Ouvrez vos huîtres le jour de leur dégustation, au dernier moment. Jetez la « première eau » présente dans la coquille à l’ouverture. Une fois ouverte et vidée de cette eau, l’huître encore vivante exfiltre en une ou deux minutes une eau purifiée, plus goûteuse et très riche en éléments nutritifs et sels minéraux facilement assimilables. Servez les huîtres bien fraîches (idéalement 8°C) disposées sur un lit d’algues ou de gros sel.

Dégustation

Traditionnellement, l’huître se déguste crue, nature ou tout juste relevée d’un filet de vinaigre à l’échalote avec un accompagnement de tranches de pain de seigle beurrées. L’huître se déguste aussi chaude. Pochée, à la vapeur, gratinée au four, en potage, sur la braise et même en brochette ou en friture… Elle conserve toute sa saveur et son onctuosité pour peu que la cuisson soit brève. Elle se marie très bien avec un vin blanc bien sec et peu fruité, un Poiré ou même, avec un champagne.

Conservation

Les huîtres se conservent parfaitement dans leur bourriche d’origine. Sinon, rangez-les à plat, creux de la coquille vers le bas et conservez-les dans un endroit aéré et frais (5° à 15° C) : bac à légumes du réfrigérateur, mais aussi cave, rebord de fenêtre ou balcon (en évitant une exposition directe au soleil et les températures négatives). Ainsi stockées, elles garderont toute leur fraîcheur pendant plusieurs jours.
Une astuce : Pour maintenir les huîtres fermées, en l’absence d’algues, vous pouvez placer un linge plié, propre et humide sur les huîtres et poser dessus un sac de sel, une boîte de conserve… un poids quelconque  qui maintiendra la pression sur les coquillages. Après ouverture, l’huître, dans son jus, peut se conserver quelques mois au congélateur, mais pour être ensuite cuisinée chaude.

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> Présentation des Huîtres Marennes Oléron

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Notre camionnette a revêtu de nouveaux habits… pour le Printemps !

Elle sera ainsi vite identifiable.

Longue route à elle.

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Nous avons renouvelé en 2012 notre  partenariat au TELETHON avec le village de Muizon.

La coordination départemental vient de nous adresser notre titre que nous avons plaisir à partager de nouveau avec vous.

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Brie au lait cru à la truffe d’été
DU VENDREDI 11 JANVIER 2013 AU DIMANCHE 13
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Offre spéciale : -20 %
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Soit  24.48 euros le Kg au lieu de 30.60
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Sous réserve des quantités disponibles
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Galette des rois frangipane cuite sur place.

Même produit et prix inchangé par rapport à 2012 :

6 à 8 personnes – Diamètre 28 cm

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___________5 € 80 ______________

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Pâte 66% dont farine de blé, beurre 33%

Garniture 33% dont beurre 15%, poudre d’amandes 12%

Rhum aromatisé. Dorure à base d’œufs 1%

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(Voir détail en magasin – Sous réserve des quantités disponibles)

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Article du journal l’Union – Publié sur le site internet  http://www.lunion.presse.fr le mercredi 18 juillet 2012 à 09H40.

Ils se passeraient bien des larmes du ciel et pleurent leurs médiocres récoltes et le manque de clientèle. Les maraîchers, agriculteurs et jardiniers veulent du soleil.

LE mildiou, l’oïdium ou le botrytis : autant de noms barbares que les agriculteurs, maraîchers ou jardiniers redoutent. Et pourtant personne n’y a échappé. « Ces maladies-là en plein été, on n’avait jamais vu ça ! » lâche stupéfait Jacques Rouchaussé, président de la section légumes de la fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA). Des maladies aux conséquences désastreuses sur les cultures.

La faute au mauvais temps. Car cette année, au cœur de l’été, après la pluie c’est encore la pluie. « On a un temps de novembre avec des cultures estivales, observe-t-il. On n’avait pas vu ça depuis 1959. » D’abord, les plants sont malades et se développent avec difficulté à cause du manque de luminosité et des températures automnales.

Didier Vecten, maraîcher à « la cueillette », à Muizon, souffre surtout du manque de fréquentation dû au mauvais temps.

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Retard dans les plantations

Ce dont témoigne Fabrice Watier, maraîcher à Taissy : « On a beaucoup de retard dans nos plantations. On a la salade, le radis et le poireau arrivent alors même qu’on a du mal à planter. » Mais en plus, avec la pluie et la boue, les maraîchers ne peuvent même pas rentrer dans leurs cultures avec leurs machines pour les sauver.
Le mildiou grille les concombres et les tomates, les salades pourrissent sur place et les chenilles se nourrissent même de feuilles de choux. « Seuls les plants sous serre ont plus de chance et peuvent être soignés », reprend Jacques Rouchaussé.
Un constat perceptible à la cueillette de Muizon, chez Didier Vecten. Qui, lui, souffre beaucoup moins de la mauvaise saison. Ici, les tomates sous serre rougissent de bonheur, contrairement à leurs consœurs effondrées à l’extérieur. Les pommes de terre par exemple, traitées contre le mildiou, se portent bien. Quant aux groseilles, mûres, framboises et rhubarbe ? « Elles rigolent. »
Un bémol néanmoins : Ces soins supplémentaires, le désherbage à la main, le manque de clientèle dû au mauvais temps et le broyage de légumes non ramassés génèrent un manque à gagner.
Des inquiétudes pour l’automne
De sorte que finalement, entre la baisse de la consommation, de la qualité et de quantité des fruits et légumes, la profession accuse le coup et appelle de ses vœux le retour des beaux jours. D’autant que si le froid et la pluie persistent, les cultures d’automne accuseront, à leur tour, du retard.

Lélia BALAIRE

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