Archive d’étiquettes pour : Fruits et légumes Reims

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Promotions du 28 février au 10 mars 2013

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Rôti de porc épaule élaboré à partir de viande régionale (08 – Ardenne)

Porc nourris aux céréales de la ferme.

____ 6,95 euros le Kg ____ au lieu de 10,50 euros

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Camembert Pré Saint-Jean ( AOC Camembert de Normandie )

____ 4,70 euros pièce ____au lieu de 5,35 euros

Soit 18,80 euros le Kg.

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Endives en arrivage direct du Nord (CAT 1)

____ 1,70 euro le Kg ____ au détail

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____ 7,65 euros le carton de 5 Kg ____

Soit 1,53 euro le Kg

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Promotions sous réserve des quantités disponibles : Voir détails en magasin.
Photos non contractuelles.

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Des endives parfumées aux zestes d’orange et gratinées aux épices.

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Ingrédients pour 6 personnes

Endive(s) : 12 pièce(s)

Vin blanc sec : 30 cl

Mélange 5 épices : 3 g

Orange(s) : 2 pièce(s)

Menthe fraîche : 6 branche(s)

Coriandre fraîche : 6 branche(s)

Persil plat : 6 branche(s)

Huile d’olive : 6 cl

Sel fin : 6 pincée(s)

Moulin à poivre : 6 tour(s)

Gros sel : 10 g

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Recette

Préchauffer le four à 200 °C (th. 6-7).

Laver les oranges et les zester.

Nettoyer les endives, puis les cuire dans un grand volume d’eau avec du gros sel. Les égoutter ensuite sur du papier absorbant.
Disposer les endives dans un plat à gratin, les arroser d’un filet d’huile d’olive et verser le vin blanc. Les saupoudrer ensuite de mélange 5 épices, les parsemer de zestes d’orange râpés et les assaisonner.
Enfourner pendant 15 à 20 min.

Laver et effeuiller le persil plat, la coriandre fraîche et la menthe. Hacher ensuite les herbes.

Lorsque les endives sont dorées, les dresser dans un plat. Les parsemer au dernier moment d’herbes fraîches hachées.

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Cette recette peut tout à fait accompagner une viande de veau poêlée.

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Esprit Terroirs – La Cueillette de Muizon est , une nouvelle fois, partenaire de la Campagne à la Ville.

La 17ème édition de “La Campagne à la Ville”, organisée par la FDSEA de la Marne, dans le cadre de l’Association “Campagne en Fête en Champagne-Ardenne” aura lieu du mercredi 26 au samedi 29 septembre 2012, place d’Erlon à Reims.
Même s’il induit certaines contraintes en terme d’organisation, cet espace unique au cœur de la ville permet de capter un public citadin très varié qui ne se déplacerait pas forcément à l’extérieur de la ville.
L’objectif est de rencontrer les citadins et les enfants des écoles pour dialoguer, faire découvrir les produits locaux, les savoir-faire, et le poids économique de notre agriculture.
Cette année, le comité de pilotage a choisi le thème de l’environnement et plus particulièrement de l’eau, enjeu considérable des décennies à venir.
L’eau est indispensable à la vie, comment la protéger ? Comment la partager ? Que pouvons-nous faire pour la préserver en quantité et en qualité que nous soyons habitants des villes ou habitants des campagnes ?
La protection des bassins de captage, l’acheminement de l’eau dans les villes, l’irrigation agricole, la sécheresse, la gestion de l’eau… autant de questions qui seront abordées dans les différents ateliers pédagogiques.
L’Agence de l’Eau Seine Normandie et Reims Métropole expliqueront d’où vient l’eau qui coule au robinet, comment elle est acheminée jusqu’au domicile des Rémois, comment l’économiser.
Les organisations professionnelles agricoles présenteront l’évolution des pratiques des agriculteurs visant à réduire l’impact de la fertilisation et des traitements phytosanitaires sur l’eau, en s’appuyant sur les travaux de la plateforme expérimentale de Thibie.
Enfin, soulignons la participation cette année de l’ACCIR, association d’agriculteurs de notre région qui accompagne des groupements d’agriculteurs dans trois pays d’Afrique de l’Ouest : Mali, Sénégal et Burkina Faso.
La campagne à la ville est toujours l’occasion de transmettre à nos concitoyens les valeurs essentielles des agriculteurs de notre région.
– L’agriculture nourrit les hommes : notre région apporte une large contribution à l’alimentation de nos concitoyens. A titre d’exemple, la ferme marnaise nourrit 10 millions d’habitants, chiffre calculé à partir de l’outil Perf’Alim élaboré par le CEREOPA, organisme issu de l’école d’ingénieurs agronomes AgroParisTech.
– L’agriculture champenoise est très diversifiée : des grandes cultures à l’élevage, en passant par les fruits et les légumes, les productions de notre région permettent de composer les 3 repas de la journée de façon équilibrée.
– C’est une agriculture de transformation : citons quelques marques ou labels très connus issus de notre région : Daddy Sucre, Farine Francine, Pain Banette, les éleveurs de la Champagne…
– C’est une agriculture innovante : elle s’adapte sans cesse pour prendre en compte les enjeux alimentaires, non alimentaires et environnementaux. Elle utilise des moyens technologiques innovants (agriculture de précision, satellites…) pour respecter l’environnement et par exemple diminuer les apports d’engrais et de  produits phytosanitaires. Grâce au pôle de compétitivité Agroressources situé à Bazancourt, elle a développé le concept de la raffinerie végétale.
L’entrée est libre et les animations gratuites !

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> Site internet

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Pour 6 personnes :

12 petites tomates anciennes ou 6 grosses.

1 boule de mozzarella

3 tranches de jambon cru (Parme ou San Daniele) ou 6 fines tranches de Pancetta

basilic frais de la Cueillette

3 cuillères à soupe d’huile d’olive

1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique

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– Préparation : 20 mn

– Cuisson : 0 mn

– Repos : 0 mn

– Temps total : 20 mn

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Coupez chaque tomate dans le sens de la longueur, en tranches assez fines.

Coupez la mozzarella en tranches fines.

Faites une vinaigrette avec l’huile et le vinaigre, salez et poivrez, puis ajoutez du basilic.

Si vous utilisez du jambon, coupez des morceaux  au diamètre des tomates.

Si vous utilisez de la Pancetta, faites-la fondre et dorer 1 minute dans une poêle très chaude.

Montez les mille-feuilles en alternant tomates, mozzarella et jambon ou Pancetta grillée.

Versez dessus la vinaigrette sur les tomates.

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Vous pouvez accompagner d’une salade ou de pain grillé à l’huile d’olive éventuellement frotté à l’ail.

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Inventez votre mille-feuilles !

Alternez avec des tranches d’aubergines grillées ou un chutney de tomate aux olives ou un pistou.

Remplacez la mozarella par de la feta…

Faites selon votre goût !

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Article du journal l’Union – Publié sur le site internet  http://www.lunion.presse.fr le mercredi 18 juillet 2012 à 09H40.

Ils se passeraient bien des larmes du ciel et pleurent leurs médiocres récoltes et le manque de clientèle. Les maraîchers, agriculteurs et jardiniers veulent du soleil.

LE mildiou, l’oïdium ou le botrytis : autant de noms barbares que les agriculteurs, maraîchers ou jardiniers redoutent. Et pourtant personne n’y a échappé. « Ces maladies-là en plein été, on n’avait jamais vu ça ! » lâche stupéfait Jacques Rouchaussé, président de la section légumes de la fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA). Des maladies aux conséquences désastreuses sur les cultures.

La faute au mauvais temps. Car cette année, au cœur de l’été, après la pluie c’est encore la pluie. « On a un temps de novembre avec des cultures estivales, observe-t-il. On n’avait pas vu ça depuis 1959. » D’abord, les plants sont malades et se développent avec difficulté à cause du manque de luminosité et des températures automnales.

Didier Vecten, maraîcher à « la cueillette », à Muizon, souffre surtout du manque de fréquentation dû au mauvais temps.

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Retard dans les plantations

Ce dont témoigne Fabrice Watier, maraîcher à Taissy : « On a beaucoup de retard dans nos plantations. On a la salade, le radis et le poireau arrivent alors même qu’on a du mal à planter. » Mais en plus, avec la pluie et la boue, les maraîchers ne peuvent même pas rentrer dans leurs cultures avec leurs machines pour les sauver.
Le mildiou grille les concombres et les tomates, les salades pourrissent sur place et les chenilles se nourrissent même de feuilles de choux. « Seuls les plants sous serre ont plus de chance et peuvent être soignés », reprend Jacques Rouchaussé.
Un constat perceptible à la cueillette de Muizon, chez Didier Vecten. Qui, lui, souffre beaucoup moins de la mauvaise saison. Ici, les tomates sous serre rougissent de bonheur, contrairement à leurs consœurs effondrées à l’extérieur. Les pommes de terre par exemple, traitées contre le mildiou, se portent bien. Quant aux groseilles, mûres, framboises et rhubarbe ? « Elles rigolent. »
Un bémol néanmoins : Ces soins supplémentaires, le désherbage à la main, le manque de clientèle dû au mauvais temps et le broyage de légumes non ramassés génèrent un manque à gagner.
Des inquiétudes pour l’automne
De sorte que finalement, entre la baisse de la consommation, de la qualité et de quantité des fruits et légumes, la profession accuse le coup et appelle de ses vœux le retour des beaux jours. D’autant que si le froid et la pluie persistent, les cultures d’automne accuseront, à leur tour, du retard.

Lélia BALAIRE

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Pour 6 personnes :

600 g de fraises de la Cueillette

40 cl de crème fleurette

10 feuilles de gélatine

3 cuillères à soupe de Grand-Marnier

1 cuillère à soupe de jus de citron

6 à 7 cuillères de sucre en poudre

Préparation : 20 mn

Cuisson : 0 mn

Repos : 0 mn

Temps total : 20 mn

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Préparer les fraises, les équeuter. En mettre 4 ou 5 (100 g) de coté et réduire le reste en purée, puis incorporer le sucre.

Faire ramollir la gélatine dans une bol d’eau froide.
Faire chauffer doucement le grand marnier avec le jus de citron dans une casserole et y faire dissoudre la gélatine. Incorporer à la purée de fraises.

Fouetter la crème en chantilly et l’ajouter délicatement à la purée de fraises. Verser cette mousse dans un moule à cake recouvert de papier sulfurisé pour que la mousse se démoule mieux. Enfoncer 4 à 5 fraises mises de coté dans la mousse pour le décor.

Faire prendre 4 heures au réfrigérateur.

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Fruits rafraichis

“Rafraichir” un fruit est une pratique culinaire qui consiste à y verser une rasade d’alcool.
Revisitant cette pratique, à chaque fruit est associée une eau de vie particulière. Une légère touche suffit, seuls les arômes sont intéressants.
Originaux, surprenants, légers, les Fruits Rafraichis ont des utilisations multiples.
A l’apéritif , en fin de repas servis avec des piques en bois. En décoration de cocktails.
A marier avec des fromages, sur des glaces, des plats cuisinés, l’imagination est la seule limite.

Fruits au sirop

De nos jardins aux contrées lointaines, cette gamme se décline en une multitude de saveurs et de couleurs. Fruits soigneusement sélectionnés, sans conservateurs ni colorants. Des produits sains et naturels.

Desserts

Desserts élaborés pour une ou deux personnes selon qu’ils sont consommés seuls ou en accompagnement (pâtisserie – glace – fromage blanc – ..) Il n’existe pas de conseil d’utilisation car ils sont conçus pour être consommés directement.
Convenant aussi bien aux repas de tous les jours qu’à des occasions plus festives, ces produits de longue conservation sont une solution idéale pour les menus de dernière minute. Réalisés sans conservateur ni colorant, ils contribuent à une alimentation saine, naturelle et équilibrée.

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